Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Le triathlon pour nous les filles

Le triathlon pour nous les filles
  • Ce blog est destiné à toutes les femmes ou jeunes filles qui pratiquent le triathlon, tous niveaux confondus, et à toutes celles qui souhaitent s'essayer à cette triple discipline dans le cadre du loisir et de la compétition.
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Archives
Le triathlon pour nous les filles
Pages
6 décembre 2014

"Le haut de l'iceberg" par Solarberg Séhel

Solarberg Séhel, expert en natation (et course à pied) est l'auteur de l'indispensable livre "Le Guide du crawl moderne" aux éditions Thierry Souccar. Il a gentiment accepté de répondre aux questions que vous vous posez concernant votre technique. Je...
Publicité
Publicité
16 décembre 2014

"Crawl: Le secret de la respiration" par Solarberg Séhel

 

Question d'Améline: "Je suis une nageuse débutante et j'éprouve du mal à sortir la tête correctement de l'eau pour prendre ma respiration. Avez-vous une technique ou des conseils à me donner, svp?"

S. Séhel: "C'est assez délicat de vous répondre car les soucis de placement de la tête lors de la respiration varient souvent d'un nageur à l'autre.

D'abord, il ne faut pas raisonner dans les termes "sortir" la tête plutôt "placer" la tête. Le placement de la tête lors de l'inspiration est très simple en théorie: lorsque le nageur ne veut pas inspirer d'air, il garde sa tête fixe par rapport au roulis de ses épaules. Lorsqu'il veut inspirer, il ne garde plus sa tête fixe mais la laisse se déplacer en synchronisation avec le roulis de ses épaules: ainsi sa bouche vient affleurer la surface de l'eau et il peut inspirer en perdant le moins possible en termes d'équilibre et d'hydrodynamisme: c'est aussi simple que cela.

Maintenant pour passer de la théorie à la pratique, vous pouvez essayer la progression suivante:

- tout d'abord, entraînez-vous à faire des longueurs avec un bras allongé devant vous et l'autre bras le long du corps, en avançant en battement de jambes (si votre battement est très faible, vous pouvez vous aider avec des palmes). Vous maintenez cette position tout au long de chaque longueur et vous tournez la tête le moins possible pour respirer. Vous devez vous appliquer à tourner la tête et non pas à la lever. Vous changez de côté à chaque longueur.

- ensuite, faites des longueurs en crawl totalement rattrapé: c'est à dire que votre main gauche ne va partir vers l'arrière que lorsque votre main droite l'aura rejoint devant vous. Veillez à inspirer à chaque coup de bras: ex: alors que votre bras droit est allongé devant vous, votre bras gauche pousse l'eau vers l'arrière, votre corps se met en roulis et votre tête tourne avec le roulis vers la gauche pour inspirer. Ensuite, c'est la même chose mais avec l'inspiration côté droit. Durant l'exercice, vérifiez que votre tête ne fait que tourner grâce au roulis des épaules et ne se lève pas pour inspirer.

- enfin, nager en crawl normal et marquer un léger temps d'arrêt au moment de l'inspiration d'air(une demi seconde suffit): vérifiez alors la position de votre tête et baissez là dans l'eau si besoin. Essayez de la garder la plus près de la surface de l'eau possible. Normalement, seule la moitié de vos lunettes doit sortir de l'eau.

Dernier point de perfectionnement : pour ne pas oublier la bonne position de tête lorsque vous inspirez, cherchez toujours à avoir la sensation d'écouter votre épaule sous-marine avec votre oreille immergée lors de l'inspiration : par exemple, si vous inspirez côté droit, appliquez-vous à approcher votre oreille gauche de votre épaule gauche comme si vous vouliez écouter votre épaule sous-marine, exactement comme si votre épaule avait quelque chose à vous dire : en l'occurrence, le secret de la position de la tête lors de l'inspiration !

Bonne nage!"

10 décembre 2014

Vélo: les 8 fondamentaux

Je viens de lire un truc passionnant sur les entraînements de vélo et sur les 8 erreurs à ne jamais faire. Je vous résume ça:
- Erreur n°1: faire des coupures trop longues. Jamais plus de trois semaines sinon on repart à la case départ...
- Erreur n°2: s'entraîner toujours de la même manière, l'organisme ne s'adapte pas et donc on ne progresse pas, on régresse même. Varier les séances: endurance..., vélocité, puissance, fractionnés...
- Erreur n°3: faire suivre deux séances de même type. Une ne servira à rien. Junk miles...
- Erreur n°4: s'entraîner sans se fixer un objectif de course précis. -
- Erreur n°5: empiler des exercices sans logique, que l'on a glanés à droite à gauche. Il faut PLANIFIER et ADAPTER  les exercices à notre niveau, notre forme du moment et à notre vie personnelle.
- Erreur n°6: investir trop d'argent dans le matériel: mieux vaut investir 500 ou 600 euros dans un stage d'entraînement dont les bénéfices seront évidents sur toute l'année que sur un nouvel ustensile (pédalier, potence...) dont les effets ne seront bénéfiques que sur le très court terme. Oublier le vélo hyper cher. Merckx dans les années 70, sur son vélo en acier de plus de 10 kilos, n'a mis que 6 minutes de plus dans son ascension du Mont Ventoux qu'Armstrong 30 ans plus tard, sur son vélo high tech....
- Erreur n°7: négliger l'importance de prendre du plaisir. Faire donc des balades plaisir quand la saison difficile est finie -
- Erreur n°8: négliger la récupération. Pour certains, il s'agira de bien boire, pour d'autres de bien manger, de se faire masser, de bien dormir, etc...
8 erreurs à éviter dans les 2 autres disciplines aussi!
10 décembre 2014

"Il" ou "elle", faudrait savoir...

On a toutes et tous vécu un truc tout pourri, dans notre longue ou courte vie de triathlète débutant(e) ou plus confirmé(e). Une mésaventure, un moment de solitude drôle ou moins drôle, bref de loose complète, une VDM quoi.

1er VDM (1er car j'en ai plein mes cartons...):
 Un jour, lors d'une sortie à vélo avec mes deux comparses mâles, on croise un groupe de cyclistes qui nous dit "Bonjour les gars!" Depuis ce jour-là, bien évidemment, je me fais chambrer dans le club, "Vivi: mi-homme, mi-femme" et j'en passe et des meilleures, bienséance oblige...
Enfin bref. J'en finis même par avoir des doutes...
Puis un jour à la piscine, dans les douches, une petite fille me pointe du doigt en demandant à sa mère: "C'est qui lui?"....
10 décembre 2014

Vidéo: technique de crawl

Coucou les parpaings, regardez-moi cette petite vidéo. Du crawl, du très très bon crawl. Alors, on se l'imprime dans le cerveau et on me fait la même chose! COMPRIS?!
http://www.youtube.com/watch?v=j8sITzxcIJw&list=TL0yJsgWxCYErRoRWRRTc-RijtkiBYD3Dg
Publicité
Publicité
9 décembre 2014

Okay, be honest, how many of us have actually

 
Okay, be honest, how many of us have actually tried to do this?!
Okay, be honest, how many of us have actually tried to do this?!
9 décembre 2014

RHHHHAAAAAA (le bol)!!!

 
Liste non exhaustive des trucs qui (m')énervent quand (m)toi triathlète médiocre, (je)tu (m)t'entraînes avec des plus forts:
- quand tu cours et que celui qui est devant toi t'attend en marchant et en t'encourageant par des "Allez, allez!" alors que toi, t'as ton repas de midi qui te remonte dans la bouche et ton cardio à 170....
- quand tu nages et que celui  devant toi se met sur le dos (en mode... protecteur du genre: je surveille où tu es) pour t'attendre alors que toi t'es à fond et que t'as l'impression de nager comme Laure Manaudou...
- quand tu roules dans une côte (notamment) et que celui devant toi se met en roue libre pour t'attendre alors que toi t'as déjà les cuisses en feu...
Je vous invite à compléter cette liste (ça fait du bien) et à crier avec moi: RHAAAAAAA (le bol)!
8 décembre 2014

LE GAINAGE: les exercices de base

Bonjour à toutes,
Je vais essayer de vous donner régulièrement quelques conseils en Préparation Physique via le blog et la page Facebook du TPNF.
L’objectif de ses conseils sera de vous permettre, pour celles qui ne font pas de PP dans leur préparation, de vous initier  et de pouvoir profiter de tous les bienfaits des exercices.


Allez, on entre dans le vif du sujet, avec notre premier article sur un exercice basique qui allie le très utile à l’agréable, LE GAINAGE !!!!!
Le gainage et notamment l’exercice de la planche ventrale est un exercice de gainage classique utilisé pour le renforcement de la sangle abdominale et des muscles érecteurs du rachis.

 L'objectif est donc d’améliorer la stabilité de la colonne vertébrale et ainsi d’assurer un bon transfert des forces entre les membres supérieurs et inférieurs et réciproquement. Et s’il y a un bien un sport où les transferts membres sup et inf sont importants, c’est bien le triathlon avec en autre  la natation et la course à pied. Mais le gainage va au delà de ça en permettant de travailler en prophylaxie ( réduction des risques de blessures) et notamment au niveau lombaire, sous réserve d’exécuter cet exercice correctement.


Dans la pratique, on peut faire des exercices de gainage, n’importe quand, avant, pendant ou après une séance ou même lors d’une séance dédiée.   Le travail s’effectuant en endurance de force, la qualité du placement est donc LA PRIORITE. La fatigue ne doit pas détériorer la posture. Pensez toujours à faire un bon échauffement si vous souhaitez faire une séance dédiée au gainage ou si vous voulez débuter votre séance par du gainage.


Un peu d’anatomie pour bien comprendre les muscles qui bossent lorsque l’on fait du gainage…… Les abdominaux sont composés de 4 muscles, les grands droits ( les tablettes !!!!), les obliques, petits et grands, qui permettent les rotations et flexion de buste et le transverse, qui  est un muscle plus profond, que l’on ne voit pas et qui permet le maintien des organes et donc d’avoir un ventre plat !!! Donc Mesdames, plutôt que de faire des crunch toute la journée pour essayer d’avoir un ventre plat, mieux vaut faire du gainage et ainsi allier le très utile à l’agréable !!!!!


Pour celles qui débutent, je vous conseillerai de vous mettre face à un miroir pour bien contrôler votre placement et ainsi éviter tout risque de blessures.
En appui sur les coudes avec un angle de 90° avec les épaules, dos droit, jambes tendus en appui au sol, pieds écartés de 20 cm environ. Le bassin est en légère rétroversion, le ventre rentré, les fessiers contractés et une chose très importante, la contraction du plancher périnéen (comme pour s’arrêter d’uriner). Pour le temps de travail, comme je l’ai dit précédemment, la fatigue ne doit pas détériorer la posture, donc pour débuter vous pouvez fractionner votre séance par tranche de 30s ou moins avec une récupération de 15s. Pour les plus aguerries, vous pourrez augmenter le temps de travail jusqu’à 1 ou 2 min ( voire plus pour les plus entraînées).  Le temps de travail total de gainage ne doit pas excéder les 20min.
Vous pourrez varier les plaisirs en intégrant des exercices de gainage en position latérale (Attention à bien contrôler les postures) ou en position dorsale (voir photos)


Nous verrons dans le prochain sujet, les exercices avancés en matière de gainage.


Merci pour votre attention et n’hésitez pas à poser vos questions, j’essaierai de vous répondre au mieux. N’hésitez pas à demander conseil aux gens diplômés et formés que vous pourrez trouver autour de vous.


Au plaisir de vous retrouver !
Sportivement
Vincent


Bibliographie :
La Préparation physique moderne. A Broussal et O Bolliet"

Photo de Le triathlon, pour nous les filles.
Photo de Le triathlon, pour nous les filles.Photo de Le triathlon, pour nous les filles.
8 décembre 2014

Témoignage de Nathalie

Souvent, on ne franchit pas le pas parce que l'on pense que l'on n'a pas le niveau sportif pour se lancer dans le triathlon. On se dit qu'on n'a aucune chance parce qu'on ne sait pas nager le crawl et à peine la brasse, qu'on n'a pas fait de vélo depuis le collège ou que nos dernières baskets étaient des Americanas... Et bien on a tort! Aujourd'hui, je vous livre le témoignage de Nathalie, qui n'était pas ce qu'on appelle une sportive dans l'âme. Et pourtant... A force de détermination et de travail, elle a accompli un véritable exploit! Bravo à elle! Encore un témoignage très enthousiaste et grande source d'inspiration. Décidément, les filles, vous êtes géniales!

" J'ai commencé le triathlon en ...encourageant mon mari. J'ai connu l'énergie des grandes courses dont Roth reste l'un des souvenirs les plus magiques mais également des compétitions locales où nous retrouvions un groupe d'amis. Je suis restée spectatrice de triathlon pendant quelques saisons.
A 45 ans passés, des enfants devenus grands et surtout autonomes, comme un défi personnel à relever, je sentais le besoin de faire quelque chose, de ne plus être spectatrice mais sportive mais le souci était là ! Oui, comme beaucoup, sans doute, j'ai essayé les cours de fitness, de step et même fait du bodyboard à Lacanau mais c'était il y a longtemps !! Tout ça n'a duré que le temps de le dire et je suis laissée envahir par ma routine, celle de toutes les femmes qui travaillent et qui ont des enfants connaissent bien alors le sport mais quand ? Je n'ai pas le temps !!
Alors, quel fut le déclic ? En septembre 2012, allait se dérouler pas très loin de chez moi, un triathlon XS. Autant dire une montagne ! Pour franchir, cet Everest, j'ai trouvé une camarade de jeu qui cherchait à essayer un autre sport … qui voulait aussi tenter l'expérience triathlon.
A mesure, j'ai pris le rythme entraînement : je ne nageais alors que la brasse et 400m représentaient un grand effort, VTT – mon fils a bien voulu me prêter le sien – passage de vitesse, plateau, freinage, il a fallu tout apprendre mais je crois que le pire restait la course à pied. Je me rendais compte que courir n'est pas naturel et que cela s'apprend.
Avec assiduité, je me suis entraînée à la mesure des mes capacités et je l'ai fait ce triathlon en lac, 250m – 15 en VTT et 2.5 de course nature. C'était énorme, j'ai fini !! Que la victoire sur soi est belle ! Ce que je ne savais pas c'est que j'allais y prendre goût ! J'ai continué la saison d'après, toujours sur des formats XS et sur ce même triathlon en septembre 1013, je me suis inscrite sur le format S. J'avais la sensation d'aller dans la cour des grands . Il fallait faire du vélo de route, une grande nouveauté où sont les vitesses ?, c'est léger, je vais tomber ! mais quel plaisir, j'ai tout de suite adoré les sensations. Résultat au chrono : dernière au classement, résultat pour moi : 1ère, j'avais réussi, j'étais capable d'enchaîner les trois disciplines.
Août 2014, me voilà sur le format M à Vichy, dans un départ natation dans le brouillard, un immense défi. J'ai roulé beaucoup cet été, j'ai -depuis – appris à nager le crawl, à mettre et poser une combi !! et à courir ! Plus de 3h30 d'efforts en continu qui l'eut cru, je m'en étonne encore !!
De l’entraînement, du réconfort, des encouragements de mon mari, de mes enfants, de mes amis- partenaires d'entraînement pour venir à bien de ce triple effort. Il y a deux saisons j'encourageais dans la foule et aujourd’hui c'est moi que l'on encourage. N'hésitez plus, laissez-vous tenter !!"
Afficher la suite
Photo : Souvent, on ne franchit pas le pas parce que l'on pense que l'on n'a pas le niveau sportif pour se lancer dans le triathlon. On se dit qu'on n'a aucune chance parce qu'on ne sait pas nager le crawl et à peine la brasse, qu'on n'a pas fait de vélo depuis le collège ou que nos dernières baskets étaient des Americanas... Et bien on a tort!
Aujourd'hui, je vous livre le témoignage de Nathalie, qui n'était pas ce qu'on appelle une sportive dans l'âme. Et pourtant... A force de détermination et de travail, elle a accompli un véritable exploit! Bravo à elle! Encore un témoignage très enthousiaste et grande source d'inspiration. Décidément, les filles, vous êtes géniales!
8 décembre 2014

Les éducs pour travailler la poussée en natation

  "Quels éducs sont préconisés pour bien travailler sa poussée ? Je dois... travailler mes bras, donc tous les exercices seront les bienvenus"
Solarberg: "D'abord, il faut peut-être préciser ce qu'on entend par "poussée".

 

"En crawl, le mouvement sous-marin de la main se décompose en trois phases: la prise d'appui, la traction et la poussée. La poussée est la phase à partir de laquelle la main passe la verticale de l'épaule. Généralement, le nageur cherche à travailler et parfaire tout son mouvement sous-marin et pas uniquement la poussée. Tous les éducatifs suivants aideront le nageur à améliorer ses appuis sous l'eau: - le grand chien : le nageur effectue le mouvement de crawl habituel sauf qu'il va ramener son bras devant lui sous l'eau et non pas hors de l'eau ; - le crawl à un bras : le nageur ne nage qu'avec un bras, l'autre bras reste le long du corps. Une variante est de garder le bras immobile allongé devant soi ; - le crawl rattrapé : le nageur ne commence son mouvement de bras qu'une fois que l'autre bras est droit devant lui ; - le crawl poing fermé : le nageur nage avec le poing fermé (il peut aussi faire l'exercice en tenant une balle de tennis ); - le crawl water polo est préconisé pour développer la prise d'appui et la traction (plutôt que la poussée).
Pour les plus avancés, le crawl sur place est intéressant (car il s'agit d'annihiler totalement l'appui des bras et c'est souvent en travaillant le contraire de l'effet recherché qu'on fait les bonnes prises de conscience en natation).
Un autre exercice intéressant est de ne nager qu'avec une seule plaquette; cela oblige le nageur à générer le maximum d'appui et de poussée avec sa main sans plaquette. On peut pratiquer cet éducatif en y ajoutant une seule palme: on met une plaquette à la main gauche et une mini palme au pied droit. Cela oblige à mieux utiliser sa main droite en coordination avec son pied gauche. On alterne évidemment l'exercice.
Il n'est pas forcément utile de passer trop de temps sur chaque éducatif. Quelques longueurs de chaque suffisent mais il faut les faire régulièrement.
Pour les moins costauds, un renforcement à sec des triceps sera bénéfique pour améliorer sa poussée (pompes, dips, élastiques de natation...). Il faut garder à l'esprit que l'allonge ne vient pas tant de la force de projection de l'eau derrière soi que de la souplesse et de l'amplitude des épaules. On lit souvent le conseil de pousser l'eau jusqu'à la cuisse; c'est un conseil utile en particulier si cela implique pour le nageur une plus grande avancée de l'épaule opposée (voir ma réponse de la semaine précédente sur l'importance de l'épaule en crawl). Car ce n'est pas tant la petite surface de la main en fin de mouvement qui fait la différence que l'amplitude du mouvement des épaules que cela implique.
Bonne nage !"

Photo : Marianne a envoyé une question sur la poussée des bras en natation.
Solarberg Séhel y répond ce soir. Merci pour ses éclairages si précis et ses conseils si précieux.
 
 
Publicité
Publicité
Publicité